Agnès Buzyn, a annoncé hier au micro de RMC, que "plus d'un milliard d'euros d'économies" reposeront sur les médicaments (sur plus de 4 milliards d'euros d'économies visées au total).
Agnès Buzyn explique que l'effort passera principalement par un recours plus récurrent aux génériques et des baisses de prix. "Cela va demander des efforts considérables aux industriels, aux professionnels de santé pour qu'ils favorisent la prescription de génériques", relève La Tribune. La ministre ajoute que les Français contribueront eux aussi à la baisse des dépenses de l'Assurance maladie. Ils "doivent être raisonnables, car ils consomment aujourd'hui trop de médicaments". La vente de médicaments à l'unité, qu'Emmanuel Macron avait évoqué durant la campagne présidentielle pour réaliser des économies, ne devrait pas être à l'ordre du jour. C'est une "idée complexe", a fait valoir la ministre. Car avec ce système "on risque de perdre la traçabilité du médicament". Agnès Buzyn a précisé attendre le retour d'une expérimentation menée en Bretagne pour prendre une décision sur ce sujet. [Avec latribune.fr]
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