Quelques avancées dans les équivalences dans le domaine de la santé pourraient favoriser l’alyah (l'immigration en terre d'Israël) des étudiants en médecine de fin de 2e cycle et des internes d’au moins un an.
Suite à un travail de longue haleine effectué par le ministère de la Santé, la commission de la santé de la Knesset et la mobilisation des associations francophones (Qualita, Gvahim, CNEF…) plusieurs dossiers concernant les étudiants en médecine ont pu connaître une issue favorable. Tout d’abord la reconnaissance, sous conditions, du diplôme de premier cycle de médecine, qui sanctionne les 3 premières années d’étude en France. "Tout étudiant ayant obtenu son diplôme de fin de deuxième cycle de médecine en France devra en Israël passer un examen et faire un stage", explique Qualita. Deuxièmement "tout étudiant interne, ayant déjà au moins un an d’internat en France à son acquis reconnu par le ministère israélien, pourra en Israël, exercer en tant que médecin et continuer son internat en Israël. Il sera alors exempté d’examen". Cependant précise l’association,"il est important de noter que ces médecins ne recevront ni en Israël ni en France le diplôme de Docteur en Médecine (MD) puisque celui-ci ne peut être délivré que par la faculté où les études ont été poursuivies". En janvier dernier une équivalence avait été accordée pour les pharmaciens français ayant exercé 3 années en France, par les mêmes institutions et associations. [Avec timesofisrael.com]
La sélection de la rédaction
Etes-vous favorable à l'instauration d'un service sanitaire obligatoire pour tous les jeunes médecins?
M A G
Non
Mais quelle mentalité de geôlier, que de vouloir imposer toujours plus de contraintes ! Au nom d'une "dette", largement payée, co... Lire plus