Pourtant cette pathologie est largement sous-estimée par le grand public, ce qui entraîne un retard de diagnostic et une mauvaise prise en charge des enfants. Les causes sont représentées par une anomalie congénitale, un problème cardiaque, hématologique, une infection (méningite, …), un traumatisme crânien… Dans le cadre de la semaine européenne de l’accident vasculaire cérébral (AVC), Adrien Taquet, secrétaire d’Etat chargé de la protection de l’enfance, a souhaité montrer son engagement dans ce domaine. Il a donc rencontré le 14 mai, l’association France AVC et le centre national de référence de l’AVC de l’enfant « pour soutenir l’action quotidienne de ces acteurs au plus proche des jeunes patients et de leurs familles ».
Le ministère de la Santé rappelle, dans un communiqué, l’importance « de mettre en place le plus tôt possible des projets thérapeutiques de suivi personnalisés incluant l'orientation vers des structures adaptées, une rééducation pluridisciplinaire, un projet d’inclusion ou d’orientation scolaire ». Une filière de soins spécifiques a été mise en place sous l’impulsion du centre national de référence de l’AVC de l’enfant, ouvert depuis 5 ans. Le secrétaire d’Etat a salué l’action des professionnels et des associations.
La sélection de la rédaction
Les complémentaires santé doivent-elles arrêter de rembourser l'ostéopathie ?
Stéphanie Beaujouan
Non
Je vois beaucoup d'agressivité et de contre vérités dans les réponses pour une pratique qui existe depuis 1,5 siècle . La formatio... Lire plus