“Un ralentissement assez marqué”, c’est ce qu’a connu la campagne de vaccination la semaine dernière à l’approche de la fin de l’obligation du pass vaccinal, note le ministère de la Santé. Et cette tendance devrait “se poursuivre”, selon l’avenue de Ségur. Le nombre de centres de vaccination “actifs”, soit qui effectuent plus de 100 injections anti-Covid hebdomadaires, s’est déjà réduit à 400, contre 700 la semaine passée. “Courant mars, on veut maintenir un socle minimal de centres, avec deux enjeux, la vaccination pédiatrique et la vaccination avec Novavax”, a exposé le ministère, qui a demandé aux Agences régionales de santé de travailler en ce sens. Et “à partir de fin mars, où le vaccin de Novavax sera disponible dans les officines de pharmacie (...) les centres tels qu’on les a connus n’auront pas vocation à perdurer si la dynamique épidémique continue à baisser”, a-t-il poursuivi.
L’idée est que “le maillage territorial sera fondé avant tout sur la vaccination en ville”, selon l’avenue de Ségur. Néanmoins, “un certain nombre de centres de vaccination pérennes” pourront au besoin compléter le dispositif. En cas de reprise épidémique forte, “nous sommes prêts à réarmer les centres très vite et très fort”, a assuré le ministère. [Avec AFP]
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