Au mois de septembre dans la Loire, 250 personnes dont une centaine de collégiens se sont vu administrer des doses de vaccin Pfizer contre le Covid… Sauf que celles-ci étaient périmées. Selon France Bleu Saint-Etienne, ces vaccins avaient été décongelés le 6 août et pouvaient être administrés jusqu’au 5 septembre. Or, les doses ont été injectées entre le 7 et le 21 septembre. Elles ont notamment été utilisées dans des opérations “Allers vers” dans plusieurs communes, ainsi que des opérations de vaccination dans des collèges.
Selon l’ANSM, il n’y a pas de risque identifié pour la santé des personnes vaccinées avec ce lot. En revanche, l’efficacité de la dose contre le virus n’est pas garantie. Interrogée sur cet incident, l'ARS Auvergne-Rhône-Alpes reconnaît "une erreur collective". Un audit a été lancé pour identifier l'origine du dysfonctionnement. D'après les premiers éléments, les dates de décongélation n'auraient pas été reportées sur les flacons.
[Avec France Info]
La sélection de la rédaction
Les complémentaires santé doivent-elles arrêter de rembourser l'ostéopathie ?
Stéphanie Beaujouan
Non
Je vois beaucoup d'agressivité et de contre vérités dans les réponses pour une pratique qui existe depuis 1,5 siècle . La formatio... Lire plus