"Ce n'était pas une alerte à la bombe mais un appel anonyme menaçant qui a été passé depuis un bâtiment du CHU et qui indiquait qu'il y aurait potentiellement un attentat, mais il ne visait pas ce bâtiment”, a fait savoir la direction de la communication du Centre hospitalier universitaire de Pontchaillou, à Rennes. “Le bâtiment a été sécurisé par la police et une enquête judiciaire a été ouverte", a-t-il également été précisé. Le bâtiment concerné héberge des bureaux médicaux et des consultations de jour. "Aucun patient n'était sur place à l'heure où se sont produits les faits, vers 17H15. Le personnel médical, qui n'était pas très nombreux, est rentré chez lui", a ajouté le CHU, précisant que "la police n'avait pas trouvé d'éléments objectifs permettant d'aller plus loin".
Des moyens policiers supplémentaires ont été mobilisés sur le site de Pontchaillou et de l'Hôpital Sud de Rennes. Les équipes de sécurité de l'hôpital ont également été renforcées. [avec AFP]
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