Un couple de Boulogne-sur-Mer vit un cauchemar depuis deux semaines. A huit mois de grossesse, ils ont appris que leur bébé souffrait d'une grave malformation du cerveau, justifiant une interruption médicale de grossesse. Mais l'intervention a échoué.
C'est une IRM réalisée il y a quelques jours au CHU de Lille qui a brutalement mis un terme à leur bonheur : alors que la future mère en est à huit mois de grossesse, le couple de Boulonnais apprend que leur bébé souffre d'une grave malformation du cerveau. Une interruption médicale de grossesse est programmée dix jours plus tard à l'hôpital Duchenne de Boulogne. L'intervention a lieu lundi 24 juillet, mais l'issue n'est pas celle attendue. Malgré une double dose théoriquement fatale, l'enfant nait vivant quelques heures plus tard. Annoncé gravement handicapé, le bébé boit et bouge mieux qu'espéré. Ses parents, laissés dans l'incertitude sur son degré d'handicap et sur les conséquences de l'IMG sur son état, veulent porter plainte. "Aucune erreur n’a été commise. C’est une situation rare et désolante, la première fois que l’on voit ça", commente la direction de l'hôpital dans La Voix du Nord. L'ARS doit décider d'une enquête. [avec lavoixdunord.fr]
Après l'angine et la cystite, faut-il autoriser les pharmaciens à prendre en charge davantage de pathologies "simples"?
François Pl
Non
Petit extrait d'une interview du Dr C. Recchia : "avoir une angine en hiver est presque devenu… banal. Pourtant, comme l’explique... Lire plus
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