"Les collègues qui ont assisté à la scène étaient tellement outrés que les juges qui étaient au tribunal ont appelé les services de police, relate le procureur de la République de Nîmes, Eric Maurel, sur France Bleu. Les magistrats déclarent avoir été témoins de "simulacres d'actes sexuels", "d'insultes à caractère sexiste" et de "propos humiliants" ciblant des jeunes filles, de la part d'"étudiants en blouse blanche". "Une jeune fille a d’ailleurs fait un malaise. Ce qui démontre bien qu’il y avait une certaine intensité de l’action", souligne le procureur devant la caméra de Midi Libre. "Nous ne sommes pas dans un processus d'intégration." Paces de Clermont-Ferrand : comment une chanson paillarde peut faire trembler une fac Une enquête a été ouverte par le parquet et confiée au commissariat de Nîmes. "L'ensemble des effectifs présents, et même les responsables de l'établissement de formation, auront quelques explications à nous donner", promet le représentant du ministère public, qui a transmis les images de la vidéosurveillance. Rappelons que la pratique du bizutage, qu'il y est consentement ou non, est considérée comme un délit, passible de 6 mois d'emprisonnement et de 7500 euros d'amende. [avec Francebleu.fr et Midilibre.fr]
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