Le Dr Raphaël Dachicourt réélu président de Reagjir
Le conseil d'administration du Regroupement autonome des généralistes jeunes installés et remplaçants (Reagjir) a renouvelé, samedi 1er et dimanche 2 juin, son bureau national. Le Dr Raphaël Dachicourt, à la tête du syndicat depuis un an, a été reconduit au poste de président.
Alors que leurs 12e Rencontres nationales se sont clôturées vendredi 31 mai à Angers, les jeunes généralistes se sont réunis samedi 1er et dimanche 2 juin pour élire leur nouveau bureau. Le Dr Raphaël Dachicourt, déjà président depuis un an, a été réélu à la tête de Reagjir par le conseil d'administration du syndicat. Installé dans les Hauts-de-France, le médecin s'engage pour une nouvelle année.
Le Dr Kilian Thomas, remplaçant dans les Pays-de-la-Loire, l'accompagnera dans ce mandat comme premier vice-président. Le Dr Olivier Cadiou, médecin remplaçant en Lorraine, garde son poste de secrétaire général, tandis que la Dre Marina Dusein, remplaçante en Bourgogne, est nommée trésorière du syndicat.
"A la sortie des négociations de la nouvelle convention médicale", qui doit être officiellement signée ce mardi 4 juin par les différents partenaires, "et alors que se profilent de nouveaux échanges parlementaires sur l'accès aux soins et le financement du système de santé", "le nouveau bureau aura à cœur de continuer à porter la voix des jeunes médecins généralistes [qui sont] force de propositions pour construire le système de santé de demain", indique le syndicat dans un communiqué.
Communiqué
Élection du nouveau bureau national : une confiance renouvelée
le nouveau bureau aura à cœur de continuer à porter la voix des jeunes médecins généralistes, avec un accent particulier sur le rôle crucial des médecins remplaçants pic.twitter.com/km6MXy3VJ8— ReAGJIR (@ReAGJIR) June 4, 2024
Durant ce nouveau mandat, "un accent particulier sera mis sur le rôle crucial des médecins remplaçants", dont l'exercice peut s'avérer difficile. "Trop souvent encore, l'image des remplaçants est ternie par des fantasmes et des préjugés. Trop souvent encore, les remplaçants sont mis de côté, comme en témoigne leur exclusion du champ conventionnel", poursuit Reagjir.
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