Dans un communiqué publié mardi 10 octobre, le CHU de Bordeaux, le centre hospitalier Charles-Perrens et l’ARS ont annoncé avoir suspendu un interne en psychiatrie de toutes ses fonctions “à titre conservatoire” pour des “faits graves” qui se seraient déroulés lors d’un stage hospitalier à Agen, en juin dernier. La date, le lieu et le motif ne sont pas détaillés.
Selon France Bleu, deux jours avant la diffusion du communiqué, le collectif “Collages Féministes” a mené une action dans la nuit de dimanche à lundi pour coller des affiches sur les murs de l’hôpital Charles-Perrens et de l’université avec des inscriptions choc : “viol à l’hôpital, université complice ?” ou encore “un violeur parmi les internes de psychiatrie”.
L’université n’a pas souhaité commenter l’action féministe. Le CHU et l’hôpital, de leur côté, ont indiqué que l’interne n’était jamais passé en stage dans leur établissement, précisent nos confrères. Une procédure judiciaire est en cours.
[avec France Bleu]
La sélection de la rédaction
Les complémentaires santé doivent-elles arrêter de rembourser l'ostéopathie ?