De ce fait, a été découverte début décembre, l’existence de « quelques lots » de médicaments à base de metformine contenant des traces de N-nitrosodiméthylamine (NDMA). Ces lots sont commercialisés hors de l'Union européenne, précise l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). En outre, les quantités relevées sont très faibles puisque « ces traces d'impuretés sont présentes à un niveau inférieur à l'exposition naturelle à la NDMA » que l’on retrouve notamment dans dans l'eau et la nourriture. En conséquence l’agence demande aux patients de ne pas interrompre leur traitement. Elle indique par ailleurs aux professionnels de santé qu’ils peuvent continuer à prescrire la metformine, et leur conseille de prévenir toute interruption de traitement chez leur patient.
Depuis l’été 2018, et la découverte d’impuretés cancérigènes à type de nitrosamines, présentes dans certains sartans, une analyse globale est conduite au niveau mondial concernant ce type d’anomalie.
Médecins étrangers : faut-il supprimer le concours et le remplacer par une sélection sur dossier ?
Angélique Zecchi-Cabanes
Non
C’est tout de même un monde que l’on considère qu’il faut à un jeune francais tres bon élève 10 ans pour faire médecine mais qu’un... Lire plus