En conséquence le laboratoire a décidé de suspendre provisoirement l’approvisionnement des doses d’initiation d’Ozempic (0,25 mg). "Aucune initiation de traitement avec Ozempic ou Victoza ne doit plus être faite", précise donc l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), dans un communiqué publié le 6 décembre. L’objectif est que les personnes déjà sous traitement puissent continuer à l’être. Pour les patients qui devaient être mis sous ces traitements, l’ANSM rappelle les alternatives possibles. Ainsi, pour le contrôle glycémique, il s’agit des autres aGLP-1 en fonction des disponibilités ou des autres antidiabétiques, selon les recommandations de la Société francophone du diabète. Et pour la maladie cardiovasculaire, il s’agit des inhibiteurs du SGLT2 (iSGLT).
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