Fondée il y a trois par une polytechnicienne, la start up Medoucine est un peu le Doctolib de la "médecine douce". Forte des quelques 15 000 rendez-vous pris sur sa plateforme en 2018, la société vient de lever 1 million d'euros. Son objectif : restaurer la confiance dans les thérapies non conventionnelles, cibles des médecins anti "fakemed", en permettant à la population de distinguer le "bon praticien" dans la masse des charlatans. Pour être référencés sur Medoucine, les thérapeutes doivent en effet signer une charte et respecter "un code de déontologie". Ils s'engagent à être honnêtes, bien formés, à "avoir une connaissance approfondie des contre-indications qui pourraient mettre en danger les clients" et à les adresser à un médecin le cas échéant. Il leur est formellement interdit de "conseiller à un client de suspendre un traitement ou un suivi médical en cours" ou encore de tenir un "discours dénigrant, diffamatoire, injurieux ou mettant en cause la qualité et l'efficacité des différentes professions de santé". Le site vérifie par ailleurs les "références professionnelles" des candidats, ainsi que leurs diplômes et certificats et recueille en permanence les avis des clients. Ces derniers sont invités à alerter la société en cas de non-respect des règles.
Ils sont réflexologues, naturopathes, pratiquent l'EDMR ou encore le shiatsu. Refusant d'être considérés comme des charlatans, les "praticiens" référencés sur Medoucine ont tous signé une charte, s'engageant à respecter leur propre code de déontologie.
L'interdiction des écrans chez les enfants de moins de 3 ans peut-elle être efficace?
Francois Laissy
Non
Comment peut-on supprimer les écrans quand je vois que les enseignants donnent les devoirs par écran interposés parfois à des heur... Lire plus