Par vengeance, une médecin supprime 4 550 fichiers stratégiques des serveurs de l’hôpital
Une professeur en médecine nucléaire a été placée en garde à vue, ce lundi 10 juillet, dans les locaux de la brigade de lutte contre la cybercriminalité de la police judiciaire de Paris. En décembre 2022, elle apprend que son CDD dans le service de médecine nucléaire du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) ne sera pas renouvelé. Par vengeance, elle aurait alors supprimé définitivement 4 550 documents confidentiels ou stratégiques indispensables à la traçabilité des équipements de l’hôpital. Lors des auditions, elle a nié les accusations. « La suppression a été réalisée depuis son compte ouvert avec ses identifiants et son code personnel », révèle pourtant une source proche du dossier au Parisien. D’autre part, le service des ressources humaines confirme qu’elle était bien dans les locaux de l’hôpital ce jour-là, et non à son domicile comme elle le prétendait. Elle a été remise en liberté, avec une convocation devant le tribunal correctionnel de Créteil le 11 mars 2024. Avec Le Parisien]
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