"C'était une étudiante très appréciée, très engagée, une très bonne interne qui faisait l'unanimité parmi ses maîtres de stage. Elle se destinait à la médecine générale", a réagi le doyen de la fac de médecine de Paris-Diderot, dans Le Parisien. Audrey, interne en pédiatrie de 27 ans en stage à l'hôpital Jean-Verdier de Bondy (AP-HP), a été retrouvée morte à son domicile de Saint-Ouen lundi après-midi. Alertés par des proches qui s'inquiétaient de ne plus avoir de nouvelles, pompiers et police ont découvert le corps de jeune femme lardé de coups portés à l'arme blanche ; la porte de l'appartement était entrebâillée. Un voisin a témoigné avoir été alerté par un bruit suspect aux alentours de 5 heures du matin, lundi. Il aurait alors vu un homme s'enfuir dans la rue. Une enquête pour homicide volontaire...
a été ouverte et une autopsie doit être pratiquée. Les enquêteurs soupçonnent un homme d'origine étrangère âgé d'une trentaine d'années, qui séjournait régulièrement chez la jeune femme. Décrivant un homme aux allures de marginal, les voisins assurent n'avoir jamais entendu de disputes entre eux. L'annonce du meurtre d'Audrey a fait "l'effet d'une déflagration" à la fac de médecine. Les enseignants recevront les étudiants qui le souhaitent ce jeudi, en présence d'un psychiatre. Une cellule d'urgence médico-psychologique a été mise en place pour les collègues de l'interne à l'hôpital Jean-Verdier. [avec Leparisien.fr]
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