Un interne du CHU de Strasbourg est décédé la semaine dernière après un malaise cardiaque à l'hôpital.
Un interne en médecine générale, âgé de 25 ans, a été victime d'un malaise cardiaque le 12 janvier au service Gériatrie des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg (HUS) où il était en stage. Immédiatement pris en charge et hospitalisé en réanimation, le jeune homme est décédé le mercredi 17 janvier.
Aucun antécédent médical connu
"Cette disparition brutale a suscité une vive émotion aussi bien dans son service, où il était très apprécié, que dans l'ensemble de la communauté hospitalo-universitaire", indique l'hôpital dans un communiqué. L'établissement indique que l'étudiant n'avait aucun antécédent médical connu. Par ailleurs, selon l'hôpital, aucun problème particulier dans l'organisation du service n'a été relevé. Une enquête de l'inspection du travail est en cours pour déterminer les causes de ce décès. Une Cellule d'urgence médico-psychologique a été mise en place pour l'équipe soignante et les étudiants.
"Les fleurs pourront être remplacées par des dons en faveur de la recherche médicale"
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Oui
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La famille de l'étudiant a fait paraître un avis de décès. Une cérémonie a été organisée ce lundi 22 janvier. "Les fleurs pourront être remplacées par des dons en faveur de la recherche médicale", précise le texte. "La famille remercie particulièrement les services de réanimation médicale et de réanimation cardiovasculaire pour leur extraordinaire découement et gentillesse ainsi que toutes les pesronnes qui lui ont apporté leur soutien ces derniers jours." Sur les réseaux sociaux, certains proches ont tenu à manifester leur soutien.
On entend parler des soignants qui vont mal , ont des accidents à cause du travail, du stress et de la fatigue. Aujourd’hui c’est un collègue et surtout un ami qui a fait un ACR. Je suis sous le choc. Je suis en colère @agnesbuzyn .
— Anne Catherine (@AnneCathAS) 12 janvier 2018
Ça y est les adieux sont faits. J’ai jms été aussi triste de ma vie. Tu me manques. Je t’aime. Mais les bons souvenirs m’aident à tenir bye bye mon pote
— Anne Catherine (@AnneCathAS) 22 janvier 2018
C’était un homme formidable, un interne peu sûr de lui mais excellent. Souriant, gentil, drôle. Bref, mon pote un amour de bébé docteur !
— Anne Catherine (@AnneCathAS) 23 janvier 2018
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