La transformation du C ou CS en G ou GS au 1er mai dernier, a fait grimacer nombre de médecins qui n'ont pu répercuter les augmentations à défaut de logiciels mis à jour par les éditeurs. L'Umespe (Csmf), plaide le cas des pédiatres et demande la négociation d'une nouvelle convention.
Les spécialistes de la confédération des syndicats médicaux français (CSMF) prend la défense des pédiatres, qui n'ont pas pu mettre les revalorisations et associations de lettres-clefs attendues au 1er mai dernier. Branche de la CSMF, qui n'a pas signé la convention médicale, l'UMESPE dénonce la complexité des cotations "qui, aujourd’hui, entraine d’une part des erreurs de cotations, d’autre part, engendre une lassitude des professionnels au vu du maquis des cotations et de l’usine à gaz construite dans cette nouvelle convention". Le syndicat relève également que tous secteurs confondus, les tarifs de remboursement des médecins généralistes (de premier secteur), sont supérieurs à ceux des pédiatres. Le syndicat attend du prochain gouvernement qu'il décide de construire "une nouvelle convention qui valorisera, demain, l’expertise, la qualité et la sécurité des soins dans le cadre d’un parcours de santé dont les spécialistes seront demain les garants".
La sélection de la rédaction
Etes-vous favorable à l'instauration d'un service sanitaire obligatoire pour tous les jeunes médecins?
M A G
Non
Mais quelle mentalité de geôlier, que de vouloir imposer toujours plus de contraintes ! Au nom d'une "dette", largement payée, co... Lire plus