Dans la matinée du 27 juillet 2022, deux femmes âgées de 78 et 70 ans et souffrant de la maladie d’Alzheimer ont été agressées l’une après l’autre dans leur chambre du centre hospitalier Max Fourestier de Nanterre, qui héberge aussi les sans-abri de la région parisienne. La première a été violée sur son lit à 9h30, incapable d’opposer la moindre résistance, et la seconde dans les mêmes conditions, à 10 heures.
Les empreintes génétiques du suspect, relevées sur les victimes, ont favorisé son identification. "Un rapprochement avec son ADN a également permis de lui imputer le viol d’une enfant de 12 ans commis quelques jours plus tard à Nanterre", confie une source proche de l’affaire.
Le suspect a été interpellé ce vendredi matin à la gare de Lyon à Paris par les policiers de la brigade des réseaux franciliens, après avoir traversé les portiques de sécurité en direction du RER sans titre de transport. Il est sans domicile fixe, mais son nom a permis de l'identifier comme un ressortissant congolais sous le coup d’un mandat de recherche lancé par un magistrat du tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine).
Il a été placé en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire de Nanterre, puis mis en examen samedi par un juge d'instruction pour viol sur personne vulnérable et pour viol sur mineur de 15 ans.
[Avec leparisien.fr]
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