La procédure de simulation des choix d'affectation est lancée ! A la rentrée 2019, 8283 postes d'internat seront ouverts, contre 8407 l'an dernier. A ce total, s'ajoutent 224 postes offerts aux étudiants ayant signé un CESP, soit 14 de plus qu'en 2018. Si le nombre de postes ouverts est inférieur au nombre d'étudiants classés aux ECN (8728), c'est notamment parce que les étudiants du Service de santé des armées font l'objet d'une procédure à part, explique le centre national de gestion (CNG). Sont également soustraits, par anticipation, les étudiants qui "ont passé les épreuves mais qui ne prendront pas de postes : auditeurs, étudiants n’ayant pas validé le deuxième cycle...", précise-t-on. La médecine générale, qui forme le gros du bataillon avec 3215 postes, en perd 53. A noter qu'elle en avait gagné pas moins de 136 l'an dernier. En parallèle, le DES récupère 9 postes en CESP (188 au total). Parmi les autres spécialités médicales, les perdantes sont la biologie médicale (-6), la santé au travail (-6), la radiologie (-5) ou encore la pédiatrie (-5). Côté spécialités chirurgicales, l'ophtalmologie perd 10 postes (140), mais 7 postes supplémentaires sont ouverts en CESP (12 au total).
La chirurgie thoracique et cardiovasculaire est amputée de 6 postes (25), la dermatologie de 4 postes (91) et la gynécologie-obstétrique de 3 postes (201). Aucune spécialité ne tire son épingle du jeu, mise à part la gériatrie, qui récupère 7 postes (192), tandis que l'hépato-gastro-entérologie pourra compter sur le renfort de 3 internes. La médecine d'urgence se maintient à 469 postes et la psychiatrie n'en perd qu'un seul (529). Consulter l'arrêté
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