"Ce n'est pas une année évidente… mais j'en garde plutôt un bon souvenir puisque j'ai eu la chance de la réussir du premier coup. Je n'ai pas eu ce stress de devoir redoubler. Ça atténue les mauvais côtés. J'avais mis en place une petite routine. Je travaillais toute la semaine et je sortais tous les samedis soirs voir mes amis de lycée; je m'accordais ces quelques moments de décompression. Donc je n'ai pas eu l'impression de m'enfermer dans les livres… Je pense que c'est comme ça qu'il faut gérer. Je crois que j'étais une étudiante un peu chiante [rires]... J'étais dans une prépa où il y avait du bruit, les doublants essayaient de nous déstabiliser, nous les primants, les petits jeunes, et de pourrir nos révisions. Ça, je l'ai assez mal vécu, je ne comprenais pas qu'ils soient aussi injustes. Donc j'étais un peu "relou" : j'étais celle qui s'enfermait dans les salles, qui demandait à tout le monde de se taire… Mais le pire sur sur la première année, c'est qu'on nous dit que c'est l'année la plus difficile alors que ce n'est pas vrai ! Je m'étais préparée à ce marathon d'un an et je ne l'ai pas si mal vécu… mais se rendre compte que les années d'après sont aussi difficiles… j'aurais préféré le savoir avant. Bon courage à tous ceux qui se lancent !"
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