Avoir un animal de compagnie (chien, chat...) diminuerait la probabilité pour un enfant de présenter un score anormal de symptômes émotionnels (odds ratio de 0,81), de difficultés avec les pairs (0,71) et favoriserait les comportements prosociaux (0,70), a révélé une enquête australienne menée chez 4 242 enfants de 5 ans et 4 431 autres de 7 ans*, présentée lors du lors du congrès de la Société française de pédiatrie (2 au 4 novembre). Le bénéfice en termes d’attitudes sociales était particulièrement net chez les enfants uniques avec une réduction de 79 % des réponses anormales. D’autres études ont mis en évidence d’autres bénéfices pour les enfants de la cohabitation avec un animal comme une augmentation des scores d’empathie pour les autres et de confiance en soi, une plus forte acquisition de l’autonomie, une réduction des allergies, une amélioration de l’activité physique.
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