En association au traitement conventionnel préconisé dans le diabète de type 2 associé à une maladie rénale chronique, le sémaglutide améliore le pronostic rénal et cardiovasculaire par rapport au placebo. Après 3,4 ans de suivi, cet agoniste du récepteur GLP-1 entraine une réduction de 24% du risque d’évènement rénal majeur (aggravation de la fonction rénale, décès d'origine rénale) ou de décès d’origine cardiovasculaire. Un bénéfice qui a été décrit dès l’analyse intermédiaire et qui a conduit l’investigateur à arrêter l’étude. Parmi les critères secondaires prédéfinis, la diminution du débit de filtration glomérulaire estimé (DFGe) suivait une pente moins prononcée, de -2,19 ml /minute /1,73 m²/an contre -3,36 dans le groupe placebo (p<0,001).
Références :
Congrès de l'ADA 2024
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