11h10 : Fin du direct. Retrouvez prochainement le décryptage sur Egora.fr 11h04 : Sur les CHU, "nous augmentons le budget des missions MERI", précise la ministre. 10h54 : Mission sur la gouvernance confiée au Pr Olivier Claris, chef du service néonatalité et réanimation néotale des hôpitaux Lyon Sud. 10h51 : Edouard Philippe annonce un plan de "reprise de dette". La hausse de la dette a réduit l'investissement hospitalier : en dix ans il a été divisé par deux, alors que la dette a augmenté de 40%, souligne le Premier ministre. "C'est l'une des causes de la crise actuelle". Dès 2020, "nous lancerons un programme massif de reprise de dette sur 3 ans", pour l'équivalent de 10 milliards d'euros (sur 30 milliards au total). "Au global", c'est 800 millions d'euros par an qui seront dégagés. 10h49 : "Il faut réussir la réforme du financement" et sortir de la "course à l'acte". Le Premier ministre veut également s'attaquer aux actes inutiles : les établissements et les sociétés savantes devront travailler sur la qualité dans les trois mois.
"Des propositions pour un ondam à 2,45 pour l'année 2020 vont être faites"
— Egora (@EgoraInfo) November 20, 2019
10h46 : "Nous allons augmenter le budget de l'Assurance maladie pour l'hôpital de 1,5 milliard d'euros pour les 3 prochaines années", dont 300 millions dès 2020, annonce Edouard Philippe. Ces sommes viennent "en plus" de la trajectoire budgétaire du Gouvernement : les sous-Ondam des soins de ville et du médico-social seront maintenus. Le Premier ministre espère que cette mesure (via un amendement du Gouvernement) sera votée dans le PLFSS 2020. Autre engagement : les tarifs hospitaliers augmenteront d'au moins "0,2%" chaque année. 150 millions d'euros par an seront par ailleurs dédiés au soutien à l’investissement courant, par exemple l'achat de petits matériels.
A propos de l'intérim médical : "on se trouve dans certains cas à de véritables mercenaires. J'annonce des campagne de contrôles"
— Egora (@EgoraInfo) November 20, 2019
10h43 : "Nous allons mettre fin au mercenariat", lance Agnès Buzyn. La ministre "annonce des contrôles" pour renforcer l'effectivité de l'encadrement de l'intérim médical. “L’hôpital ne peut constituer une zone de non droit.”
Je sais l'engagement des doyens "dans la réforme des études de santé. C'est pourquoi nous soutiendront les missions spécifiques des CHU à travers nos mesures."
— Egora (@EgoraInfo) November 20, 2019
"Nous devons améliorer les conditions d'enseignement et de recherche dans les centres hospitalo-universitaires"
— Egora (@EgoraInfo) November 20, 2019
10h41 : "Il faut aller plus loin dans la coopération entre professionnels de santé". Il y aura davantage de protocoles de coopération. Et de rappeler que les infirmières des urgences qui s'y engagent toucheront une prime de 100 euros brut par mois.
"Nous devons d'avantage faire confiance aux équipes hospitalières, nomment dans l'organisation au quotidien. Je sais que ces mesures nécessitent des mesures de protocole de coopération qui seront rapidement prises"
— Egora (@EgoraInfo) November 20, 2019
10h40 : Deuxième axe : "répondre aux différents blocages de l'hôpital, le premier est la prise de décision à l'hôpital". "Il faut que les directeurs et présidents de CME décident conjointement". Les rôles des chefs de pôle ou de service seront renforcés. 10h38 : "Nous devons revoir les statuts de médecin à l'hôpital et adapter les conditions d'exercice aux variétés des parcours". Chantiers menés "dans les 6 mois" 10h38 : Prime de 100 euros net mensuelle pour les soignants des Ehpad. La ministre annonce également un "grade de débouché pour partir à la retraite dans de meilleures conditions" 10h36 : Prime annuelle de 800 euros net par an pour 40 000 infirmières et aides-soignantes en région parisienne qui gagnent moins de 1950 euros net par mois. 10h35 : "Nous revaloriserons la prime d'engagement dans la carrière hospitalière pour les médecins comme pour les paramédicaux, pour offrir aux métiers qui connaissent les plus grandes tensions de nouveaux leviers d'attractivité"", annonce Agnès Buzyn. "Nous fusionnerons les 4 premiers échelons de praticien hospitalier". 10h33 : "Trois objectifs forts" : "répondre au problème d'attractivité de l'hôpital public et celui plus général des carrières" ; "lever les blocages de l'hôpital public" ; "dégager des moyens supplémentaires" en reprenant une partie de la dette des hôpitaux. 10h32 : Le Premier ministre revient sur les réformes déjà menées : le plan Ma Santé 2022, le pacte de refondation des urgences. Une réforme large, qui inclut la médecine de ville. 10h31 : "En 2018 et en 2019, nous avons alloué deux milliards d’euros supplémentaires à l’hôpital". "Nous allons débloquer l'intégralité des sommes mises en réserve cette année : 400 millions d'euros." 10h28 : "Le personnel hospitalier nous dit que l’Hôpital décroche, nous les avons entendus", déclare le Premier ministre. "Nous avons entendu leur colère, leur épuisement, leur désarroi." “Nous ne cherchons aucune excuse, mais nous héritons d’une situation qui vient de loin”
"Si les urgences sont saturées, c'est souvent parce que les patients n'ont pas d'autre choix" E.Philippe
— Egora (@EgoraInfo) November 20, 2019
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