En 2015, une infirmière de l’hôpital de Mercy, en Moselle, commet une erreur d'injection. A une patiente souffrant d’un cancer du sein et qui suit un traitement expérimental de chimiothérapie par voie cutanée, elle injecte un anticancéreux ne devant être utilisé que par voie intraveineuse stricte (vinblastine). Dans les heures qui suivent, les muscles de la patiente se nécrosent. Il lui faudra deux greffes de peau ainsi que des curetages pour la soigner. “Il faut reconnaître que l'hôpital est intervenu assez rapidement, en procédant à des examens immédiats, cependant, cela n'empêchera pas les douleurs atroces" a souligné l'avocate de la victime, dont les propos sont rapportés par France Bleu Lorraine Nord. L’infirmière concernée a été reconnue coupable par le tribunal correctionnel de Metz mais dispensée de peine. Suite à une décision de la justice administrative, l’hôpital et la victime se sont entendues sur une indemnité d’un montant de 27 000 euros. [Avec France Bleu et Le Républicain Lorrain]
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