Le Groupe de Recherche sur les Injections de PRP (Grip), qui rassemble 15 experts de pays francophones, vient d’établir des recommandations pour l’utilisation du PRP dans la gonarthrose. « On pourra l’administrer après échec d’un traitement non pharmacologique et pharmacologique oral, plutôt dans des gonarthroses modérées, en évitant de le faire lors des grosses poussées congestives pour lesquelles les injections de corticoïdes conservent leur intérêt », signale le Dr Eymard. Une à trois injections de PRP, de préférence pauvre en leucocytes, pourront être effectuées. Il est déconseillé d’utiliser dans le même temps AINS et xylocaïne, qui peuvent diminuer l’activité des plaquettes.
Après l'angine et la cystite, faut-il autoriser les pharmaciens à prendre en charge davantage de pathologies "simples"?

François Pl
Non
Petit extrait d'une interview du Dr C. Recchia : "avoir une angine en hiver est presque devenu… banal. Pourtant, comme l’explique... Lire plus
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