107 études ont été identifiées. La preuve était modérée pour ce qui concernait l’association inverse entre une consommation élevée de poisson et la mortalité (rapport de risque résumé par plat/semaine = 0.95 ; IC 95 % = 0.92 – 0.99 ; n = 6 études), pour les céréales entières (rapport de risque résumé par 20 g/jour = 0.84 ; 0.71 – 0.99 ; n = 2 études), pour les fibres (rapport de risque résumé par 5 g/jour = 0.86 ; 0.81 – 0.91 ; n = 3 études) et pour les acides gras n-3 polyinsaturés (rapport de risque résumé pour 0.1 g/jour = 0.87 ; 0.82 – 0.92 ; n = 2 études). La certitude des preuves était basse pour une association inverse entre la consommation de légumes (rapport de risque résumé par 100 g/jour = 0.88 ; 0.82 – 0.94 ; 2 études) et protéines végétales (par 10 g/jour = 0.91 ; 0.87 – 0.96 ; 3 études) et pour une association positive pour la consommation d’œufs (par 10 g/jour = 1.05 ; 1.03 – 1.08 ; 7 études) et la consommation de cholestérol (pour 300 mg/jour = 1.19 ; 1.13 – 1.26 ; 2 études). Pour les autres facteurs alimentaires, il n’y avait pas réellement de preuves ou les preuves étaient très incertaines. En conclusion, une consommation élevée de poisson, de céréales entières, de fibres et d’acides gras n-3 polyinsaturés est associée de manière inverse avec la mortalité globale chez les patients ayant un diabète de type 2. En revanche, pour les autres facteurs diététiques, les arguments sont plutôt modérés ou faibles.
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